Parce qu’on va partir du principe qu’on est aussi responsable de sa vision de la Vie, on va parler aujourd’hui de votre capacité d’intervention sur vos propres malheurs.
Alors certes, mon histoire est plus facile à dire qu’à faire. Comment ne plus être responsable de son propre malheur? Et bien en modifiant son point de vue et en travaillant à de plus subir ou voir les évènements difficiles que sous un angle négatif.
Vous me suivez? Non?
Alors développons.
Dans ce nouveau podcast, je fais encore appel à votre responsabilité en tant qu’acteur de votre vie. A plusieurs reprises, depuis un certain temps, je vous ai expliqué, non sans convictions évidentes, que l’on peut vous apporter toutes les solutions du Monde, seule votre volonté d’action transformera l’essai.
Pour la vision de la Vie, c’est pareil.
Je suis partie de la définition du Larousse, comme d’hab, du mot MALHEUR et j’ai buté sur le verbe : affecter. Alors certes, on peut être affecté par une maladie par exemple. Le Larousse dit qu’ « être affecté, c’est être touché, atteint ou concerné par quelqu’un ou quelque chose, en parlant de quelque chose de pénible ».
Il dit aussi que le verbe affecter, « c’est toucher quelqu’un, l’émouvoir, le peiner ». Et là, se trouve notre levier d’action. Si pour 50%, on peut être affecté par un drame ou une maladie, pour les 50% restants, voire plus en fait, on peut décider d’évaluer la chose en dédramatisant.
De fait, même si ce Monde tolère mal la gaieté dans les moments difficiles par codes, vous pouvez décider de voir la chose autrement. Dans ce podcast, je me livre un peu pour donner du corps à mon expérience et à mon propos.
Je ne dis pas que changer de point de vue est facile. Loin de là. Vous allez en suer. Mais on n’a rien sans un peu d’efforts. Je dis donc que c’est possible, et que cela se travaille dans le temps et au fur et à mesure de la vie.
Je vous propose 3 astuces applicables au quotidien pour commencer à transformer les choses : Être dans le moment présent (oui, encore et toujours), sourire et arrêter de râler au maximum.
Non, ce n’est pas le sort, qui s’acharne ou qui vous frappe. Non le malheur n’est pas une raison de vivre ou une identité. Oui, vous pouvez tellement évoluer que vous ne prêterez plus attention aux petits malheurs du quotidien au profit de petits bonheurs très simples.
Belle écoute. A très bientôt.
Delphine
Évoqués dans ce Podcast :
- « J’arrête de râler » de Christine Lewicki (et non Catherine comme dit dans le Podcast)
- « Tu vas tout déchirer » de Jen Sincero
- « Conversations avec mon coiffeur pour aimer la vie » de Tal Ben-Shahar
- « Ma vie de pingouin » de Katarina Mazetti
Cet article a 2 commentaires